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Si son offrande est un holocauste de gros bétail, il offrira un mâle sans défaut; il l'offrira à l'entrée de la tente d'assignation, devant l'Éternel, pour obtenir sa faveur.

Il posera sa main sur la tête de l'holocauste, qui sera agréé de l'Éternel, pour lui servir d'expiation.

Il égorgera le veau devant l'Éternel; et les sacrificateurs, fils d'Aaron, offriront le sang, et le répandront tout autour sur l'autel qui est à l'entrée de la tente d'assignation.

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Si c’est du gros bétail[a] qu’on offre en holocauste[b], on apportera un mâle sans défaut et on l’offrira à l’entrée de la tente de la Rencontre afin qu’il soit agréé par l’Eternel. Celui qui l’offre posera sa main sur la tête de l’animal[c] et celui-ci sera accepté comme victime expiatoire pour lui. Il égorgera le jeune taureau devant l’Eternel, et les descendants d’Aaron, les prêtres, en présenteront le sang[d]. Ils en aspergeront tous les côtés de l’autel qui se trouve à l’entrée de la tente de la Rencontre.

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Footnotes

  1. 1.3 Trois sortes de victimes pouvaient être offertes en holocauste suivant la fortune de l’offrant : les taureaux pour les riches (v. 3), les moutons ou les chevreaux (v. 10) et les oiseaux (v. 14) pour les pauvres (Lv 5.7 ; 12.8 ; Lc 2.24).
  2. 1.3 Le mot holocauste rend un mot hébreu de sens inconnu et dérive d’un terme grec signifiant : « entièrement consumé ». En effet, la victime de ce sacrifice était presque entièrement brûlée. Voir Ex 29.39-42 ; Nb 28.9-10, 26-31.
  3. 1.4 L’imposition des mains représente l’identification avec l’animal qui, par ce geste, devient le substitut de l’offrant (voir 24.14 ; 16.21).
  4. 1.5 Voir Gn 9.4 ; Lv 17.10-15 ; Dt 12.16.